développement durable

Comment définir le concept développement?

Qui est entrain de nous parler?  Découvrez ma page qui suis-je pour avoir la réponse à votre question.

Table des matières

 Définir  le  concept   développement : introduction

Ce concept est  utilisé  sous  plusieurs aspects  avec  plusieurs  définitions   selon   l’environnement  de  chaque  angle.  Étant   donné  la  multitude   des   définitions  de  ce concept,  j’ai   trouvé qu’il  était  important  pour mes  lecteurs   de  comprendre  l’objectif de  mon  site ainsi  que  sa  structure  ce,  en  décortiquant  les  concepts  utilisés   dans  le  nom de  domaine dudit  site.    

Développement
Définir le concept développement

Qu’appelle-t-on développement ?: Définition  Générale 

Selon   plusieurs dictionnaires  français, la  définition   du terme développement  se  résume  dans  l’action   de  développer,  de  se   développer  ou  le   résultat   de  cette  action.  Il  y  a  lieu donc  de   définir le  verbe   « développer » : Il  s’agit   de   déployer  ou de   faire  accroître   une  chose  physique,  intellectuelle  ou morale.

Disons  ici  que  le   développement   est une action qui consiste  à quitter  un  stade  d’état  à  un  état  avancé  sur  le  plan  physique,  intellectuelle  ou  morale.

Découvrez la rubrique de nos Projets de développement

Prenons  les  exemples  concrets  du développement  économique  des  certains  pays  du  monde notamment  la  chine qui,  autres  fois  était  considéré  comme  un pays  pauvre,  mais est  devenu  un deuxième  poumon  économique  mondial.

développement  économique
développement économique

Quels sont  les aspects  du  concept  développement ?

Comme   nous  l’avons  souligné  au point  précédent,  ce  terme est  employé  sous  plusieurs   angles  qui lui  confèrent  chacun  une  définition  appropriée. 

C’est  ici  l’occasion  de  décortiquer   la  définition  de  chaque  aspect  ainsi  que  sa  relation  avec  l’objectif   de  notre  site.

Comme  l’homme  ne se  suffit  pas  soi-même,  je  n’ai  pas  ici  l’intention de   définir  tous  les aspects  du  développement car ils  sont  non   exhaustifs   et  je  ne  pourrai  pas  épuiser   toute  la matière  à  ce  sujet. 

A  cet  effet,  dans  le  cadre  de  notre  site,  nous  nous  limitons à l’étude  des   aspects  du  développement  qui sont importants pour la vie quotidienne de l’homme et lesquels je   trouve  nécessaires  car, ils  nous aideront  à comprendre  la   catégorisation  des  articles et   permettra  au   lecteur  à  se  retrouver  dans  sa  lecture.

Quelques aspects du développement

Comment définir le développement Communautaire ?

C’est  un  type  de  développement  qui désigne  l’ensemble des procédés par lesquels les habitants d’un pays unissent leurs efforts à ceux des Pouvoirs publics en vue d’améliorer la situation économique, sociale et culturelle des collectivités, d’associer ces communautés à la vie de la nation et de leur permettre de contribuer sans réserve aux progrès du pays.

On peut donner  l’exemple des  réalisations   des  projets   par  des  particuliers  ou  des  ONGD   en  vue  d’aider  la  population  à l’accès  à l’information ( cas de  radios  communautaires). 

Développement  communautaire
Développement communautaire: Le député de Sakassou échange avec des représentants des mutuelles de développement

Comment peut-on définir autrement les caractéristiques du développement communautaire?

Les caractéristiques du développement communautaire sont:

Existence d’un problème collectif

l’existence d’un problème collectif, c’est-à-dire d’un problème commun à un ensemble de  personnes, une population, une collectivité, ou une communauté, problème commun parce  qu’il trouve ses racines et s’explique par un problème structurel ou d’organisation sociale, par définition donc « externe » à l’individu, même si celui-ci peut le vivre individuellement  de façon différente de son voisin.. Il s’agira alors, si toutefois il y a bien indication de travail communautaire – et cette question est essentielle ! – de faire prendre conscience à la population de la nature collective de ses problèmes avant d’imaginer avec elle les, ou des, solutions collectives qui en découleraient. Conscientisation étant entendu ici au sens politique du terme (prise de conscience des mécanismes économiques, politiques et sociaux qui pèsent sur eux) et non psychologique (conscient/inconscient au sens freudien) bien  entendu.

Réponse au problème:

La réponse à ce problème collectif devra être collective elle aussi. Ce qui suppose que toutes les personnes concernées par le(s) problème(s) doivent agir ensemble, à toutes les étapes du processus. La population d’abord en tant que première concernée par les problèmes, mais  aussi les travailleurs sociaux et leurs partenaires de tous ordres (associatifs, institutionnels, politiques, économiques…) vont penser et agir ensemble. La population est considérée ici non pas comme consommatrice de services mis à sa disposition, mais comme un ensemble  de citoyens, d’acteurs, de producteurs de leurs propres réponses collectives. On ne fait donc  pas POUR la population mais AVEC elle.

Existence d’un partenariat

L’existence d’un partenariat, ou à tout le moins d’un travail en réseau, ou de collaboration. On ne peut travailler seul en développement communautaire : le problème étant collectif, il touche un ensemble de personnes/institutions/cadres différents, ayant des rôles et des  fonctions différentes par rapport au problème. Elles ses origines et ses manifestations, autant de  personnes qui doivent donc, de façon plus ou moins étroite et active selon les partenaires et  selon les moments du processus, travailler ensemble. Parmi ces partenaires, les différents  pouvoirs, publics ou non, c’est-à-dire ceux qui ont un pouvoir de décision sur le problème et  ses solutions, devront à un moment donné être parties prenantes au processus. Ce qui ne va pas sans poser un certain nombre de questions idéologiques, politiques, éthiques ici aussi.

Répondre à la nature du problème de départ

– Pour répondre à la nature du problème de départ, la ou les réponses viseront bien entendu un  changement structurel ou d’organisation sociale, ce qui suppose d’emblée des réponses non  ponctuelles ou isolées. Il s’agit de changer la situation en profondeur et non de trouver une  réponse temporaire ou immédiate à un problème ponctuel, d’inventer, de  créer des formes nouvelles de structures ou d’organisation, des modes de fonctionnements  nouveaux qui répondent mieux aux problèmes de la population que les institutions ou  services existants. Il s’agit de sortir de la dyade classique offre/demande, service/client,  instituant/institué…

Une réponse souvent territorialisée, localisée

– La réponse est bien souvent territorialisée, localisée ; elle s’inscrit en tout cas à un niveau  d’intervention micro-social qui permet les échanges directs et concrets entre les gens, qui permet une expression réelle, de fait et non seulement théorique ou de droit, un niveau qui  permet l’établissement de liens sociaux réels, non virtuels ou distants.

L’action communautaire se déroule sur la place publique

– L’action communautaire se déroule par définition sur la place publique. La notion du secret  professionnel, si chère aux travailleurs sociaux, se travaille de manière un peu différente en travail communautaire : tout ne doit pas se dire, bien au contraire, mais l’action doit par définition se faire connaître si elle veut avoir une chance d’aboutir en touchant le plus grand  nombre.

La notion du temps

– Enfin, il faut du temps, du temps et encore du temps : du temps pour obtenir des résultats  certainement mais aussi pour, analyser le problème, penser l’action, se rencontrer, échanger,  partager, négocier, organiser, agir, évaluer… On ne peut travailler que sur le long terme,  conception encore parfois difficile à faire reconnaître auprès de nos décideurs politiques, contraints à des temps électoraux par définition plus courts que ceux des changements  sociaux.

Notre  site   s’intéressera   à  des  projets, événements  et  réalisations  ayant   trait  à ce genre  de  développement.

Comment définir le  développement  rural  

Tout  d’abord  le terme  rural désigne  les populations qui résident à la campagne et les activités qui s’y déroulent.

Ainsi,  la population rurale comprend des catégories socioprofessionnelles très variées. Elle inclut les agriculteurs et leur famille, ainsi que les représentants de tous les services qui ont leur siège dans les villages et les bourgs et sans lesquels la vie à la campagne serait difficile : commerçants, employés de mairie, de la poste, de la banque, instituteurs, médecins, sans oublier les représentants du culte.

developpement  rural
Jeunes ruraux œuvrant dans un champ de riziculture

Le  développement   désigne  toute  activité susceptible de  changer  le  mode  de vie  d’une  population  rurale.   Les  ateliers et les usines qui transforment les produits locaux (fromagerie, conserverie, scierie), utilisent une source d’énergie (électrométallurgie ou électrochimie en montagne), bénéficient d’une expérience traditionnelle de la main-d’œuvre (tissage, horlogerie). Les salariés de toutes ces industries, grandes ou petites, vivent à proximité de leur lieu de travail ; ils sont à l’origine, bien souvent, de quartiers nouveaux, cités ou lotissements, qui viennent agrandir l’espace bâti des villages  contribuant  ainsi  au développement de ces derniers.

Puisqu’il s’agit ici d’un  développement  rural  et  étant  donné  que c’est  la catégorie  de population  qui  est  concernée   par  le  développement,  notre  site   va   s’intéresser   à   cet  aspect  du  développement  par  la  mise  à disposition du  public   des  micro-projets  de  développement  rural.

Comment définir le  développement  durable 

Le développement durable est un système de développement économique. Son principal objectif est de réussir à fusionner  les progrès économiques et sociaux avec la préservation de l’environnement. Je  ne suis  pas  professeur  d’écologie,  je  vous  renvoie  sur  le site  ci-après pour des  plus  amples  informations :Hatari

Par définition, le développement durable est une approche  humaniste puisqu’elle a comme but ultime, de préserver la planète pour la transmettre en bon état, aux futures générations.

Selon  la Commission Mondiale pour l’Environnement et le Développement de l’ONU « Commission Brundtland, le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la possibilité, pour les générations à venir, de pouvoir répondre à leurs propres besoins. »

développement  durable
développement durable

Ainsi, le développement durable est accès sur 3 bases  à savoir l’environnement, le social et l’économie.

Par définition, le développement durable doit combiner, plusieurs exigences à la fois :

  • Satisfaire les besoins primaires des populations actuelles et futures comme l’eau, la nourriture et la santé.
  • Améliorer la qualité de vie des populations.
  • Promouvoir les nouvelles formes d’énergies renouvelables telles que les éoliennes, les panneaux solaires et la géothermie.

Dans le cas de l’agriculture par exemple, être acteur du développement durable, c’est mettre en place une gestion économique rentable tout en respectant l’environnement et sans amoindrir les ressources naturelles pour les générations futures. Les agricultures biologiques vont dans ce sens, puisqu’elles produisent des aliments plus sains et moins pollués tout en respectant les exigences sanitaires et environnementales.

Quels sont les enjeux du  développement  durable ?

Les  enjeux  du  développement  durable  sont  nombreux,  nous  n’en  ciblons  que  trois :    

Préserver l’environnement

Les acteurs du développement durable doivent prendre conscience que les ressources naturelles ne sont pas infinies mais elles sont indispensables à notre survie. Or depuis quelques années, on assiste à une dégradation et une rareté de ces ressources. La faune, la flore, l’air et l’eau sont en danger et ces matières doivent être  préservées  par notre société pour assurer la vie sur Terre. Voici quelques pistes pour y arriver :

  • Éviter le gaspillage des ressources naturelles
  • Utiliser des ressources renouvelables et de matériaux recyclables d’origine animales, végétales, énergétiques ou minières.
  • Préserver les espèces menacées et en voie de disparition
  • Bannir les produits OGM et mettre en avant les produits issus de l’agriculture biologique.
  • Limiter les transports de marchandises et de personnes
  • Limiter la surconsommation
  • Trier et recycler les déchets
Encourager la cohésion sociale

Le développement durable c’est aussi œuvrer pour le bien-être de la société et de tous ses citoyens. Chacun doit pouvoir accéder aux besoins primaires comme l’alimentation, le logement, les soins médicaux, la sécurité et l’éducation, quel que soit son niveau de vie et sa situation géographique. Voici les thématiques sur lesquelles il faut donc travailler :

  • Lutter contre l’exclusion et les discriminations surtout dans le milieu professionnel
  • Mettre en place des projets ciblés pour limiter les contrastes entre les hommes et les femmes par exemple.
  • Collaborer avec des associations pour réduire les inégalités sociales.
  • Privilégier les produits issus du commerce équitable
  • Tenir compte des spécificités de chacun, peu importe son statut
  • Valoriser les produits et les savoir-faire locaux
  • Préserver et diffuser le patrimoine local comme la langue, les traditions et l’art.
Développer une économie responsable

Les enjeux d’une économie responsable sont complexes. Il faut concilier un projet viable avec des principes éthiques comme la préservation de l’environnement et l’entretien du lien social sans pour autant refléter ce système sur le prix des biens et des services vendus. Ce pilier est au cœur des deux autres, pour créer un équilibre. Voici quelques conseils pour y arriver :

  • Chercher des pratiques commerciales innovantes et éthiques afin de répartir équitablement les bénéfices et les richesses. Le commerce équitable, et le microcrédit sont des systèmes qui prennent en compte ce facteur
  • Développer le tissu économique local
  • Créer une économie circulaire qui permettrait de récupérer, recycler et réparer les produits, plutôt que de les produire à nouveau.
  • Développer l’économie de partage c’est-à-dire mutualiser les ressources (que ce soit les compétences, le temps ou l’argent) en utilisant de nouvelles formes d’échanges entre particuliers comme le troc, l’échange et la location.

Comment   définir  le  Développement personnel?

La notion de développement personnel a des significations différentes selon qu’elle est utilisée par des psychanalystes, des promoteurs de techniques New Age, certains courants du coaching, les éducateurs et spécialistes du travail, telle que l’Organisation internationale du travail (OIT), qui l’incluent dans les buts de l’enseignement supérieur et du travail décent. Les objectifs du développement personnel peuvent ainsi renvoyer à la connaissance de soi, à la valorisation des talents et potentiels, à l’amélioration de la qualité de vie, à la réalisation de ses aspirations et de ses rêves, etc. Ainsi, pour la revue Sciences humaines, « les techniques de développement personnel visent à la transformation de soi: soit pour se défaire de certains aspects pathologiques (phobie, anxiété, déprime, timidité), soit pour améliorer ses performances (mieux communiquer, gérer son temps, s’affirmer).

Développement  personnel
Développement personnel

Application  du  développement  personnel 

Le développement personnel dans le management

Le premier à avoir introduit le développement personnel dans la sphère professionnelle est Abraham Maslow (1908-1970). Il a proposé une hiérarchie des besoins représentée sous forme de pyramide, avec, au sommet, l’accomplissement de soi, défini comme le désir de devenir de plus en plus ce qu’on est et de devenir totalement ce qu’on est en mesure de devenir.

Maslow était persuadé que seulement une infime proportion des hommes atteignait ce seuil d’auto-accomplissement – il estima le chiffre à 1 % . Sa vision d’une hiérarchie des besoins a eu pour fâcheuse conséquence que le stade « supérieur » du développement personnel a été considéré comme réservé à ceux qui étaient en haut de la pyramide de l’organisation, tandis que les besoins de la masse d’employés semblaient ne pas dépasser le stade de la sécurité d’emploi et des bonnes conditions de travail.

« Nous vivons un âge d’opportunités sans précédent : si vous avez l’ambition et l’intelligence, vous pouvez monter au sommet du métier que vous avez choisi quel que soit votre point de départ. Mais avec cette opportunité vient la responsabilité. Les entreprises, aujourd’hui, ne gèrent plus les carrières de leurs employés ; les travailleurs du savoir doivent effectivement devenir leur propre Pdg. C’est à vous de vous tailler une place, de savoir quand il est temps de changer de trajectoire, et de rester engagé et productif pendant une vie de travail qui dure une cinquantaine d’années. »

Les professeurs en management, Sumantra Ghoshal, de la London Business School, et Christopher Barlett, de la Harvard Business School, écrivent de leur côté, en 1997, que les entreprises doivent manager leurs employés individuellement et ainsi établir un nouveau contrat de travail.

  • D’un côté, l’entreprise doit admettre que le développement personnel crée de la valeur : « la performance du marché ne découle pas de la sagesse omnipotente des dirigeants mais de l’initiative, de la créativité et des compétences de tous les employés. »
  • D’autre part, les employés doivent reconnaître que leur travail inclut à part entière cette notion de développement personnel et ainsi « embrasse la force vive de l’apprentissage continu et du développement personnel. »

Désormais, les perspectives de carrière ont changé. Il s’agit moins de grimper dans la hiérarchie de l’entreprise que d’assurer son développement personnel en même temps que son développement professionnel. La recherche montre que les carrières des femmes suivent des étapes de développement spécifiques et valorisent différemment la réussite d’une carrière. Herminia Ibarra montre que les changements de carrière comportent un changement d’identité professionnelle.

Les programmes de développement personnel des entreprises peuvent se diviser en deux catégories : les programmes pour motiver les employés et créer des bonnes conditions de travail, d’une part, et l’investissement stratégique de développement personnel pour améliorer le capital humain d’autre part.

  • Lorsqu’il s’agit de plans d’action en faveur des employés, le but est d’optimiser la satisfaction, la motivation et la fidélité de ces derniers. Les questionnaires peuvent aider les entreprises à définir les besoins en matière de développement personnel, les préférences de chacun et les problèmes récurrents pour ainsi mettre en place des programmes spécifiques. Les plus courants, dans cette catégorie, portent sur la maîtrise de l’articulation entre vie personnelle et professionnelle, sur la gestion du temps ou du stress, sur la santé ou encore la communication. Beaucoup de ces programmes proposent des activités que les employés seraient amenés à payer hors de la sphère de l’entreprise : yoga, sports, arts martiaux, PNL…
  • Les programmes stratégiques de développement personnel ont pour but d’accroître le capital humain ou d’augmenter la productivité, la capacité d’innovation et les qualités individuelles. Ils n’apparaissent pas comme un coût pour motiver le personnel, mais bien comme un investissement, dont les résultats dépendent directement des objectifs stratégiques de développement de l’entreprise. L’accès à ces programmes se fait par sélection en fonction du potentiel de l’employé, le plus souvent dans le cadre d’un plan de gestion des talents, et à destination des nouveaux recrutés, des salariés à haut potentiel, des employés clés, de l’équipe de ventes, de la recherche et développement, et des futurs managers. D’autres programmes sont plus généraux et accessibles à la plupart ou même à tous les employés. On trouve là des formations concernant le développement de carrière, l’efficacité personnelle, le travail d’équipe, et le développement des compétences. Le développement personnel fait aussi partie des outils de management : création d’un plan de développement personnel avec son manager, évaluation de ses capacités en utilisant une grille de compétence, ou obtention d’un feedback à partir d’un questionnaire rempli par des collègues de différents niveaux dans l’organisation.
Le développement personnel dans la nébuleuse du « New Age » (1920-2000)

Sur le plan thérapeutique, des techniques classées sous le terme « New Age » ont un lien avec le développement personnel. L’inspiration remonte aux années 1920 auprès de la théosophie (Helena Petrovna Blavatsky), mais c’est surtout dans les années 1960 que l’auteur américaine Marilyn Ferguson les théorise dans La conspiration du Verseau. Ainsi, à l’Institut Esalen (Californie) de nouvelles techniques « New Age » sont expérimentées : le Cri primal d’Arthur Janov, le Rebirth, le Rolfing d’Ida Rolf, et l’Analyse bioénergétique d’Alexander Lowen, la Gestalt-Thérapie de Fritz Perls.

Pour développer sa personnalité, l’expérience New Age a livré au public, discrètement à travers des groupuscules puis dans un marché rémunérateur du développement personnel grand public, une panoplie de techniques multiples inspirées de l’Orient comme de l’Occident, traitant du corps comme de l’esprit comme médiateur de la maîtrise de soi.

Comment définir le développement économique ?

Le développement économique et social fait référence à l’ensemble des mutations positives (techniques, démographiques, sociales, sanitaires…) que peut connaître une zone géographique (monde, continent, pays, région…).

Il ne doit pas être confondu avec la croissance économique. Celle-ci est habituellement nécessaire ou consécutive au développement mais elle n’en est qu’un aspect. Il existe même des zones en croissance par simple inertie de tendance ou sous l’effet de dopants artificiels de types dits keynésiens, sans pour autant connaître les transformations de structure et la « destruction créatrice » propres au développement, qui assurent sa pérennité. Cela peut conduire à un épuisement des ressorts de la croissance. On peut alors retrouver le phénomène de cycle de vie (de l’émergence à l’expansion puis au plafonnement et enfin au déclin) étudié en marketing.

développement  économique
Sommet  du  développement économique en Afrique

Le développement économique nécessitant notamment de la création de richesses, on associe développement économique et « progrès », puisqu’il entraîne, généralement, une progression du niveau de vie des habitants. On parle alors d’amélioration du bien-être social (au sens économique). La volonté de concilier simple développement économique et progrès ou amélioration du bien-être a mené à forger, à côté des indicateurs de développement traditionnels (PNB, PIB), d’autres indicateurs, tels que l’indice de développement humain (IDH), qui prend en compte la santé, l’éducation, le respect des droits de l’homme (dont font partie, depuis 1966, les droits économiques et sociaux), etc. Les paramètres économiques et sociaux pour la mesure du développement sont indiqués dans l’article « Pays en développement ». La différence entre croissance économique et développement social est mal perçue dans le grand public Le bien-être social doit être distingué de la production économique. Le bien-être est pluridimensionnel. D’autres composants existent à côté du bien être matériel.

Les indicateurs du développement économique

Du point de vue strictement économique, l’indicateur le plus souvent utilisé est le produit intérieur brut (PIB) qui est une somme des valeurs ajoutées sur un territoire. Son chiffrage, qui ressort de la comptabilité nationale, est cependant délicat. Comment, par exemple, chiffrer l’utilisation des services non marchands et des biens publics ? Leur coût et utilité économique sont noyés dans les budgets publics par absence de facturation, ce qui ne permet guère de savoir s’ils apportent plus de richesses qu’ils en consomment, s’il y a valeur ajoutée ou valeur retranchée. L’autre indicateur commun est le PNB (Produit national brut).

Par ailleurs, le PIB ne contient que les flux (production / consommation). Les économistes et statisticiens n’arrivent guère à mesurer, ni même à estimer l’évolution du patrimoine public et privé. À plus forte raison, certaines externalités positives ou négatives sont mal mesurables. Par exemple, comment chiffrer l’effet externe négatif d’une pollution comme l’engrais azoté puissant du lisier (par exemple de porc) déversé dans les cours d’eau, amenant à une eutrophisation, sans même parler du gaspillage d’une ressource précieuse non ou difficilement renouvelable ? Sur le même plan, comment mesurer l’effet positif des pots catalytiques ou d’une fluidification de la circulation routière, voire la « désindustrialisation » des secteurs lourds en faveur des services et hautes technologies ? Le développement économique affecte ainsi de façon importante l’environnement, conduisant certaines personnes à prôner la décroissance économique, d’autres préférant soutenir le développement durable.

Devant ces imperfections des indicateurs économiques traditionnels (PIB et PNB), le PNUD (Programme des Nations unies pour le Développement) a mis en place l’Indice de développement humain (IDH), qui prend en compte la santé, l’espérance de vie, l’alphabétisation, etc. (le Prix Nobel Amartya Sen a pris part à la conceptualisation de l’IDH). D’autres indicateurs économiques existent, tels que l’Indicateur de pauvreté (IPH), également créé par le PNUD ; l’indice de Bonheur national brut (BNB), créé par le roi du Bhoutan dans les années 1960 ; le BIP40, ou baromètre des inégalités et de la pauvreté, créé en 1999 par le Réseau d’alerte sur les inégalités.

Conclusion

Il était question dans cet article, de donner une idée claire sur le concept développement en le définissant et en dégageant ses différents aspects.

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